CyberLoisirs : Le blog 100% pratique de Wally

Nouvel espace communautaire spécial Ventes Privées

Posté par Wally le Jeudi 28 janvier 2010


Je voudrais partager avec vous aujourd’hui une initiative géniale, initiée par VraiBonPlan.com: l’espace communautaire VraiBonPlan Vente Privée .

Bon, il est vrai que je ne suis pas neutre sur ce coup-là, puisque je suis impliqué… mais je peux vous assurer…

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Ici, les vieux billets sont repassés…

Posté par Wally le Jeudi 9 juillet 2009

Je l’avais annoncé, ce blog n’est pas lié à l’actualité du jour, mais plutôt le traitement de sujets d’actualité.

La nuance? je ne veux pas contribuer à la « course à l’actu » que se livrent certains blogs populaires (presse-citon, chauffeur de buzz, …) ou même sites de grands médias (le figaro, le monde, …), ils le font déjà très bien, je ne vois pas ce que je pourrais apporter.

Par contre, je crois que traiter des sujets à tête reposée, loin de la frénésie de l’annonce, peut s’avérer utile à de nombreux internautes :

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Pouvoir d’achat: mieux consommer

Posté par Wally le Samedi 6 septembre 2008

Depuis l’âge de 10 ans, je cherche à dépenser moins. Sans rire, j’ai du être le plus jeune « cliente » de la Redoute. A l’époque, je me débrouillais pour obtenir des pochettes de tirages photo Maxicolor de bienvenue, offrant un développement en tirage double, une pellicule neuve et un cadeau pour…

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Construire une jardinière en bois de 1.20m et plus

Posté par Wally le Vendredi 2 avril 2010

Vous avez été nombreuses à me le demander (oui, que des femmes!), voici enfin quelques explications pour vous permettre de fabriquer facilement une jolie jardinière en bois de 1m20 ou plus.

Pour le rien gâcher, le budget est réduit: construire cette jardinière m’a coûté moins de 20€… on est pas sur le blog 100% Web et Conso du webmaster de Code Promo.com pour rien ;-)

D’ailleurs, pour entrer tout de suite dans le vif du sujet, voici à quoi ressemble une de celles que j’ai construites.  Cliquez sur la photo pour la voir en grand:

jardiniere en situation

Je ne vous montre que cette jardinière la, car j’ai construit les autres sur un tout autre modèle. Un modèle plus rapide à fabriquer, mais qui demande plus de découpe, et moins joli (je trouve). Je vous expliquerai si vous me le demandez ;-)

Les matériaux : du bois !

On ne change pas une tactique qui marche:  pour acheter la matière première moins chère, je détourne un objet de son usage d’origine. Donc, plutôt donc que d’aller chercher du bois à la découpe, qu’il faudra traiter pour qu’il résiste à l’humidité, je vous suggère de regarder côté « bois de terrasse ». En plus de pas être cher (en cherchant un peu), cela présente l’immense avantage d’être déjà traité pour l’extérieur!

Chez Castorama, j’ai choisi des lames de terrasse de 2,40m premier prix de 9cm de large (8mm d’épaisseur) à 1,50€ pièce, que je découpe à la longeur de mon choix. J’ai également acheté des caillebotis « éco » à 1,00€ pièce (en 40×40cm) et d’autres de 50x50cm à 1,40€ (en promo).

Pour les quantités, il va falloir faire quelques calculs… en fonction des dimensions de votre jardinière. Je vous explique dans 2 minutes.

jardiniere-outils

Les outils

Cette fois, l’outil principal, c’est l’arrache-clous, qui va nous servir à démonter les callebotis de 50×50 pour récupérer les différentes éléments: lames d’un côté, traverses de l’autres (on garde pas les clous ;-) ). Personnellement, j’ai opté pour un marteau américain (sur la photo), mais tout autre ustensile pouvant servir d’arrache-clou fait l’affaire. Une pince (ou tenaille) vous rendra également service.

Prévoir également une scie à bois comme sur la photo, quoique qu’une scie à métaux fera également l’affaire. Autre outil indispensable, la perceuse. J’utilise toujours celle achetée 7,90€ chez Leroy-Merlin, (malheureusement made in China) sans oublier bien sûr une mèche de 4mm et un tournevis cruciforme.

Rubrique consommables, il vous faudra des vis pour bois aggloméré. La dimension de vis « qui-va-bien », c’est du 4×30, mais je vous conseil d’acheter un assortiment, ou encore des vis en vrac, chez Leroy-Merlin: des vis agglo de 4×30, du 4×40 et du 3×40, voir 3×50 (mon Castorama ne fait presque plus de visserie en vrac). Au final, la bonne longueur dépendra de l’épaisseur des éléments à assembler. Attention toutefois à ne pas prendre des vis en fer, qui rouilleraient illico!

L’architecture de la jardinière

Voilà un mot pompeux, « architecture », mais je ne sais pas comment dire autrement. Je pense que c’est là le plus dur: trouver un assemblage (et ordre d’assemblage!) qui permette d’obtenir une jardinière en bois qui soit solide, malgré sa longueur… Au passage, même si j’ai construit plusieurs bacs à fleurs en bois, je décline toute responsabilité si vous n’arrivez pas au résultat escompté (voilà, la note légale, c’est fait!).

Pour revenir à la conception de la jardinière, celle-ci est composée de 4 assemblages pour les côtés. Les grands côtés sont identiques entre eux, et de même pour les petits côtés. Chaque côté est composé des lames des caillebotis (démontées) et mises côtes à côtes.

Assemblage d'un côté de la jardiniere en boisCes lames de caillebotis sont tenues au minimum en haut et en bas par des renforts perpendiculaires, par le recyclage des traverses des caillebotis. Le schéma ci-contre illustre la construction de chacun des 4 côtés. Notez au passage que les traverses ne vont pas jusqu’au bout (cliquer sur l’image pour l’agrandir). Ce n’est pas une erreur, c’est pour l’assemblage des côtés entre eux.

Enfin, le fond est composé de caillebotis de 40x40cm posés sur les traverses du bas. Il y a donc intérêt à ce que ces traverses soient bien fixées: toute la terre du bac en bois va peser dessus. Une astuce toutefois pour limiter les risques: comme il faut de toutes les façons des « pieds » pour surélever la jardinière, on va s’assurer que ceux-ci s’appuient sur les traverses. Ainsi, le poids de la terre va peser sur les caillebotis placés au fond sur les traverses elles-même soutenues par les pieds.

Voici un schéma qui (essaie) d’illustrer tout ça. Pour qu’il reste compréhensible, je n’ai dessiné que les côtés longs ainsi qu’un seul caillebotis (de 40×40) utilisé pour le fond. S’il est dessiné à l’envers, ce n’est pas une erreur: pour gagner 1cm de volume (l’épaisseur de ses traverses), je l’ai retourné. Mais vous faites bien comme vous voulez.

Assemblage des côtés et du fond de la jardiniere en bois

Les quantités… et les dimensions

J’aurais pu dire les dimensions définissent les quantités. Car en effet, c’est la longueur du bac à fleur qui va déterminer le nombre de dalles (callebotis) de 40x40cm et 50x50cm à utiliser. C’est d’ailleurs pour cela que ma jardinière fait 1.20m: pour le fond, j’utilise 3 dalles de 40×40. De même, la largeur est imposée par celle de mes dalles de fond, soit 40cm. Bien sûr, il serait possible de les rétrécir, mais l’idée est de faire simple!

Pour les côtés, tout va dépendre de la largeur des lames qui composent les dalles de 50x50cm. Celles que j’avais repérées font 6cm de large. Comme il y en a 7 par dalle, je vais réaliser 6*7 = 42cm d’un côté de 50cm de haut avec une dalle.

Pour connaitre le nombre de lames dont j’ai besoin pour un côté, je divise la longueur du côté par la largeur d’une lame: 120cm/6cm = 20 lames. Pour connaitre le nombre de dalles de 50×50 à utiliser pour faire un grand côté, il reste à diviser le nombre de lames par le nombre qui compose une dalle, soit 20/7 = 3 (il me restera une lame).

Il reste à reproduire le calcul pour le petit côté: 40cm/6cm = 6,666. J’ai donc un problème: je vais devoir découper un lame sur sa longueur (50cm) pour qu’elle ne fasse que 4cm. Comme je doutais de mes capacités à scier droit sans me couper un doigt, j’ai activé le plan B: utiliser des lames de terrasses de 9cm de large (coupées à 50cm de long) pour arriver à un compte rond. En l’occurrence, 3 lames de terasse (=27cm) + 2 lames de grand callebotis (=12cm) font 39cm. Il me manque 1cm, que j’ai « récupéré » en laissant un petit jour de 2mm entre chaque lame. Mais j’aurais tout aussi bien pu décider de réduire le petit côté à 6x6cm = 36cm, mais j’aurais alors dû transformer les dalles de 40×40 utilisées pour le fond en dalles de 40x36cm…

Voici ce que donne le petit côté en utilisant mon plan B. Le résultat aurait été meilleur si j’avais bouché les fentes (entre les lames) avant de peindre. Autre aléa: les lames de terrasse et celles des caillebotis ne sont pas de la même épaisseur. J’ai donc dû « caler » les plus minces (celles des caillebotis) pour que, vue de l’extérieur, elles soient au même niveau. Cliquer sur la photo pour l’agrandir:

jardiniere vue de côté
Si je n’avais rien dit, vous l’auriez remarqué, vous,
que toutes les lames ne sont pas de la même largeur? :-)

Pour clore le chapitre quantités, il m’a donc fallu:

  • 1 dalle de 50×50 pour compléter les deux petites faces
  • 3 dalles (caillebotis) de 50×50 par grande face, soit 7 callebotis de 50x50cm au total
  • 6 lames de terrasses de 50cm de long, soit 2 lames de 2m40
  • Sans oublier  les 3 dalles (caillebotis) de 40x40cm pour le fond

Pour continuer sur la chapitre lames de terrasse, j’ai ajouté un rebord sur le dessus de la jardinière. Ce n’est pas indispensable, mais je trouve que ça achève la finition. Pour la longueur à prévoir, cela va dépendre de la position du rebord:  plus le rebord sera éloigné, plus la planche devra être longue. Mais à priori, avec 2 lames de 2.40m supplémentaires, ça devrait être bon.

Pour le budget, on est à moins de 20€ de matière première… pas mal, non?

Note: vu le prix réduit de la matière première, je vous conseille de voir large, et d’acheter 1 ou 2 pièces de chaque en plus: cela vous évitera de devoir retourner vous approvisionner en cas d’erreur de découpe ou… de calcul.

La préparation

La première étape, c’est de démonter les caillebotis (dalles de 50x50cm). A vous de trouver la méthode la plus efficace. Pour ma part, je glisse l’arrache-clou sous chaque lame pour faire levier, petit à petit. Une fois toutes les lames enlevées, il reste les clous en forme de U (à deux pointes). Là, le plus simple est de taper (avec le marteau!) sur les pointe, pour les faire ressortir, et finir de les arracher avec une pince ou tenaille.

Si vous avez de la découpe à faire (les lames de terrasses à couper à 50cm, par exemple), c’est le bon moment. Plutôt que mesurer, prenez les lames extraites des caillebotis comme référence. En effet, ce qui importe, c’est que ce soit de la même hauteur!

Fabrication des montants

C’est sans doute le moment le plus périlleux. Je vous conseille de tout poser bien à plat, de « présenter » les pièces pour voir ce que cela donne, et de prendre votre temps.

Si vous souhaitez peindre ou vernir, cela peut être le moment de passer la première couche, si vous suivez mes  conseils pour peindre ou vernir.

Une fois toutes les pièces à portée de main, commencez par un grand côté. Si comme moi, une face de la jardinière ne sera pas visible, vous pouvez rassembler toutes les pièces de bois de moindre qualité sur la face masquée.

Je vous conseille de plaquer les lames à assembler contre un mur droit ou une lame de terrasse bien droite; cela vous permettra de pas finir avec une jardinière en dents de scie ;-) . Mettez un carton dessous pour ne pas abîmer la face apparente, puisque l’on va les poser face intérieure sur le dessus.

Une fois les lames bien en place, placez les traverses, à ras du bord. Par contre, attention à ne pas dépasser, que ce soit du bord supérieur ou du bord inférieur: en haut, ce serait moche, en bas, cela empêcherait de placer les pieds. Si vos traverses ne sont pas droites, cela signifie qu’elles ne seront pas à fleur, tant pis.

Laissez à chaque extrémité des traverses mises bout à bout un vide entre la fin de la traverse et le bord, de l’épaisseur d’une lame. En effet, je propose de faire rentrer le petit côté entre les deux grand côtés, comme illustré sur le schéma suivant.

Marquez la position des traverses, puis percez les lames (deux trous par traverse et par lame.. sauf pour les lames du bord: un seul trou au milieu). Le diamètre de percage doit correspondre à celui des vis, pas plus gros. Pour éviter les bavures, il faudrait percer depuis la face extérieure… mais comme on a fait le marquage à l’intérieur (pour ne pas endommager l’extérieur), cela peut être compliqué. Si vous parvenez à ne pas trop éclater le bois, c’est tout bon: la tête de vis masquera l’éclat de bois qui apparait parfois là ou la mêche ressort.

Si vous souhaitez cacher les vis, vous pouvez reprendre tous les trous côté extérieur avec une mèche de diamètre légèrement supérieur au diamètre des têtes de vis, sur la profondeur de 2 têtes de vis: ainsi, votre vis rentrera dans le bois de la lame, et vous pourrez recouvrir de pate de bois (un peu de sciure et colle à bois fait aussi l’affaire!) avant de peindre la seconde couche.

Pour éviter de fendre le bois des traverses (qui ne sont pas très larges), il est préférable de pré-percer celles-ci. Mais attention, avec une mêche plus petite (de 2mm de moins par exemple): on veut pouvoir visser dans quelque chose!

Une fois l’ensemble percé, il ne reste plus qu’à visser. Mais avant, assurez-vous une nouvelle fois que toutes les lames sont bien alignées. On visse depuis la face extérieur, vers l’intérieur, sur les traverses.

Recommencer l’opération pour les 3 autres côtés.

L’assemblage des côtés

Si on a bien travaillé jusqu’à maintenant, c’est un jeu d’enfant: on lève les grands côtés, insère aux deux bout les petits côtés, tout s’emboite à merveille. Bon, en pratique, il faudra peut-être raboter un peu ou caler pour que l’assemblage semble parfait vu de l’extérieur :-) Avant de fixer (visser) le tout, vérifier que les dalles (caillebotis) de 40x40cm se positionnent bien sur les traverses fond. Sinon, écartez légèrement (avec des petites cales en bois) les côtés, ou bien prévoyez de raboter (ou scier) les dalles.

Il va rester à faire tenir l’ensemble. Pour cela, nous allons placer des vis perpendiculaires (donc assez longues), qui vont aller dans la longueur des traverses ou des lames, suivant le côté. Sur le schéma ci-dessous, l’axe de vissage est désigné par les flêches. Attention, pour simplifier, je n’ai dessiné que 2 fleches par côté (un axe représenté sur chaque côté), mais il est bien évident qu’il faut visser dans les 2 axes sur chaque côté (cliquer sur l’image pour afficher les détails).

assemblage jardiniere vue du dessous

Depuis le côté court, en haut et en bas, on va visser au niveau des traverses (vous comprenez maintenant pourquoi j’ai dis de ne mettre qu’une vis et au milieu pour les lames du bord ;-) ). Depuis le côté long, comme on a les lames en face sur toute la hauteur, on va visser en haut, en bas et au milieu. Évidemment, quand je dis en haut et en bas, c’est forcément décalé par rapport au côté court, sinon, les vis entreraient en collision!

Il reste à poser les pieds. Vous vous rappelez, il faut que les traverses du bas reposent sur les pieds, pour soutenir le tout. J’ai opté pour des pieds courts, mais j’aurais tout aussi bien pu mettre des pieds sur toute la largeur. En fait, je manquais simplement de chutes de bois. Pour faire ces pieds, j’ai simplement assemblé 2 épaisseurs d’une lame de 50x50cm qu’il me restait, après l’avoir découpée en petits morceaux.

Après avoir retourné votre jardinière, placez les pieds que vous aurez préalablement percés. Là, il est indispensable d’avoir élargi l’entrée du trou: la tête de la vis ne doit en aucun cas dépasser, sous peine d’accrocher ou même rayer le sol. Vous pouvez visser dans la traverse et la longueur de la lame, soit 2 vis par pied. Espacez les deux vis le plus possible, par exemple en les plaçant en diagonale l’une de l’autre.

Si vous avez peur que votre jardinière ne se bombe sous la pression de la terre, vous pouvez insérer des renforts verticaux à 1/3 et 2/3 de la longueur. Pour cela, vous pouvez découper une dalle (caillebotis) de 40x40cm et l’utiliser comme renfort. Il suffira de visser depuis l’extérieur sur les traverses et/ou les lames du caillebotis.

Les finitions

Avant toute chose, il faut rendre les parois étanches, en plaçant un filme plastique. Le mieux, c’est la récup: par exemple le filme d’emballage d’un matelas (car il est épais et grand). Si vraiment, vous n’avez pas de filme plastique épais de récupération, vous pouvez assembler des pans de sacs poubelles découpés. Cependant, même si votre sac poubelle est « très épais », il sera un peu trop mince à l’usage.

Dans tous les cas, n’oubliez pas de faire des trous dans le fond (avec un tournevis par exemple), pour permettre à l’eau de sévacuer.

Si vous avez envie de mettre un rebord sur le haut de la jardinière pour l’habiller un peu (voir les photos), voici quelques conseils:

  • Décidez du placement de votre rebord: plutôt à l’interieur, centré sur les montants, à l’extérieur.
  • Vous en déduisez la longueur de chacun des 4 pièces du rebord. Il vous reste à les découper, bien perpendiculairement.
  • Enfin, coupez les extrémités à 45 degrès. Ne vous trompez pas, les deux angles doivent être opposés, un coté de la planche sera donc plus long que l’autre. La planche opposée devra être découpée dans le même sens (ne confondez pas dessus-dessous).
  • Il ne vous reste plus qu’à assembler puis visser le rebord. Là encore, je vous conseille de percer la planche, et de pré-percer la lame (ou traverse) qui se trouve dessous.

Dernière étape de la finition: peindre ou vernir. Mais vous pouvez aussi laisser en bois brute, si il a été traité auto-clave. Pour ce qui est des plantations, je vous laisse faire !

jardiniere en situation

Je suis curieux de savoir ce que cela va donner pour vous: n’hésitez pas à laisser un commentaire sur ce billet, ou même m’envoyer des photos. Je les ajouterais dans votre commentaire!

Wally.

Rangé dans : pratique.

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